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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 19:49

   

      Bonjour à tous !

                                                                                                                                                                

  Plusieurs auteurs de mes amis me conseillent...et bla bla bla, et bla bla bla...Et quoi, Carine-Laure, ton blog ? Tu lui as injecté de la poudre soporifique ou quoi ? Allez, Carine-Laure, bouge-toi ! C'est ça, la convivialité !

  Fière comme un modèle de Gustave Klimt ( ! ), Kate milie
http://kate.milie.skynetblogs.be  promène avec elle son premier roman "Belle Epoque" et me demande trois fois
par semaine si l'exemplaire - test de
" Rue Baraka" repose enfin sur mon bureau...Mais non, Kate, ce tant désiré n'est même pas encore parachuté dans ma boîte aux lettres !
  Sophie Vuillemin
http://sophievuillemin.over-blog.com lance à travers la planète l'histoire de Pierre. " C'est quoi ton stage", c'est un roman écrit comme on respire ( d'après le commentaire de Kate Milie ) et, d'après les dires de Sophie, l'histoire de son Pierre et celle de mon Tarek se superpose...C'est vrai, les deux romans valorisent les rapports entre jeunes et moins jeunes mais chuuuut, je n'en dis pas plus !
  Vous savez, les auteurs entre eux, ça se taquine , ça jacasse, et ça rigole comme dans les cours de récré...
  Pour parfaire la situation, Edmée de Xhavée ( auteur des "Romanichels" dont le blog
http://edmee.de.xhavee.over-blog.com est référencé comme étant un des meilleurs blogs francophones ) me siffle :
- Hé la miss, tu dors ou quoi ? N'oublie pas ton blog ! Il faut que tout cela vive, se colore, s'invite sous les yeux de tes lecteurs !

  C'est une cabale ! Tous, ils se donnent le mot ! Le Bob aussi
http://www.bandbsa.be/contes.htm, il me presse...
Et Jean-Pierre Meyer
http://www.meyer-jean-pierre.com, et Alain Callès http://alaincalles.over-blog.com, et Marie-France Mellone http://lesmotsdemariefrance.over-blog.com...

  Et donc voilà l'article !
  L'autre jour, une de mes vieilles connaissances se fracture le scaphoïde. Le scaphoïde, vous savez, ce petit os du pied. Sur un ton humoristique ( je n'dis pas "moqueur", elle s'rait pas contente...), je lui dis :
  - On connaissait "L'astragale" d'Albertine Sarrazin. A présent, il y a "Le scaphoïde " de XXX !
  Elle et moi, nous avons bien ri. Surtout moi...

  Ce soir-là, ce nom, Albertine Sarrazin, me revient en mémoire..."L'Astragale", roman autobiographique, écriture magnifique, authentique. Dans un style littéraire prometteur, cette adolescente révoltée raconte ses années difficiles, sa jeunesse rudoyée par des incarcérations successives. Et puis l'évasion, ce haut mur duquel elle chuta et se brisa l'astragale, ce petit os du pied, voisin du scaphoïde...L'intrépide ne peut se relever et, à ce moment-là, le destin s'arrête. Il s'appelle Julien.

  Albertine sarrazin, c'est une étoile. Elle est passée comme un sirroco, pour nous ouvrir les yeux, le coeur. Et c'est elle qui saigna.
  Pourquoi emprisonner les jeunes ? Quelles sont les routes caillouteuses qui les conduisent vers des actes irréparables ? Albertine, c'est tout ça ! Mais c'est aussi l'intelligence, la révolte et un grand, un tout grand talent littéraire. Savez-vous qu'elle était née à Alger en 1937 ? Et décédée à Paris, en 1967 ? Trente ans !
 Albertine Sarrazin, un destin...
 Après avoir relu "L'astragale", j'ai écrit ce texte...

  Les bougainvillées et autres éclatantes

  Fleurs d'Alger se fanent s'étiolent en ce dix-sept

  Septembre mille neuf cent trente-sept

  Alger est belle et blanche et chaude

  Les enfants des rues de pierres et ceux

  Des pierres précieuses et creuses

  Creusent l'enfance et ignorent les mépris

  L'enfance est innocence et ignore

  Tous les lampions des haines précoces

  Des abandonnés des jours essentiels

  Il ne suffit que d'un jour féroce

  Un jour de honte et d'oubli

  D'une fille malheureuse devant cette porte

  Toute seule avec ses pensées d'amour

  des cris un panier de bébé autour

 

   Des semaines à se demander lever

   la tête vers le ciel d'Alger si blanche

   Vers ce ciel si bleu et démoralisé

   Pourtant à pleurer il se venge

   Une petite étoile brillante

   N'éclatera plus sur les bras nus

   De la jeune fille si jeune si imprudente

   Si seule au coeur brisé déçu

   Toutes ces angoisses ces déserts

   Dans les plis de son coeur de cierge

   L'enfant qu'elle n'entendra plus

   Qui est-elle et d'où vient-elle
   Cette jeune fille ne sourira plus
   Exilée de la vie sans lumière ni chandelle
   Angelot fragile dans les anges déchus
   Elle peine de laisser là dans des bras inconnus
   Ce petit enfant cet oisillon sans ailes
   Au regard pétillant à la vie dévêtue
   Est-elle fée est-elle magicienne
   Est-elle passante gueuse ou mendiante
   Estampillée d'une passion bohémienne
   Agenouillée et bientôt trébuchante
   Elle hésite elle marche quelques pas
   Puis se confond dans les hibiscus
   A Alger le moindre faux pas
   Sonne le glas sans attendre l'angélus
   Jamais dans la vie ne pardonnera
    D'avoir oublié une princesse
    D'avoir renoncé aux caresses
   Que d'autres ne donneront pas

    Du père de l'enfant nous ne savons rien
    Est-il roi prince ou artisan
    Fils de tout ou fils de rien
    Est-il militaire prêtre ou médecin
    Usurier algérien ou français mécréant
    
    C'est aujourd'hui le jour béni
    Ou maudit de la Sainte- Albertine
    Ils te nommèrent donc ainsi
    De nom Damien de prénom Albertine
    
     A peine venue aux gens
    Déjà des fleuves de larmes
     Inhument lignées de parents
     Et noient les mélodrames

     Enfant du soleil enfant d'Algérie
     Aux yeux de velours d'arrogance et de force
     Ton corps est subtil tes élans sont précoces
     Des étoiles sont en toi et tu aimes la vie

      Derrière les murs tout blancs 
      De l'assistance publique
      Tu t'éveilles et pendant deux ans
      Inoffensive les cadeaux de la république
      T'ouvrent vides et merveilles

      A qui donneras-tu ton premier sourire
      Un visage un lit un drap des fleurs
      Petite fille du soleil et peut-être du désir
      Ta vie est ici ta naissance est ailleurs

       Combien sont venus regarder tes papiers
       Questionner observer et puis réfléchir
       L'affaire est sérieuse et n'est pas garantie
       Difficile d'aimer un enfant adopté

    Albertine Sarrazin, je ne sais pas si j'écrirai la suite de ton histoire ...Tu sais bien que j'attends des nouvelles de mon premier roman ! Tu dois me comprendre ! Tu sais ce que j'aurais aimé ? Et bien, j'aurais aimé, si tu avais vécu, j'aurais aimé aller prendre un verre avec toi. 
A Paris... 

    Ah oui, j'oubliais..Dis, si tu me lis, toi dont le petit scaphoïde s'est cassé, merci à toi, XXX !
    
     Merci de signer votre passage par un commentaire! J'adore ça, vos commentaires, ça me fait avancer ...
       
      A bientôt,
                       Carine-Laure Desguin
  
    
  


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28 décembre 2009 1 28 /12 /décembre /2009 12:34


Bonjour les amis !

Dans quelques jours, l'année 2010 débute ! Des projets ? Non ? Rien ? Je me doutais un peu ! C'est la raison pour laquelle ces quelques propositions vous aideront...Puisées sur le blog très attractif de notre ami Louis Delville
http://louis-quenpensez-vous.blogspot.com/, conteur et troubadour des temps modernes, ces souhaits révélateurs d'une vie simple mais belle éveilleront sans doute chez vous une promesse secrète...ou deux, ou trois...


                         Une caresse de l'être aimé
                       Une chanson de Piaf ou de Brel
                             Une étoile dans le ciel
                        Une franche poignée de main
                               Un homme à relever
                                Une larme de joie
                                 Un livre ouvert
                           Un oiseau sortant de sa cage
                               Un poème inachevé
                           Un rire qui n'en finit pas...

Ecrivez vous aussi vos désirs secrets, ceux accrochés à vos soupirs et pensez-y le plus souvent possible. Et, qui sait....une baguette magique pourrait vous exaucer ! Pourquoi pas ? Tout est possible !


Que dites -vous ? La "Rue Baraka" ? Quelle direction ? Parlons-en puisque vous notez dans votre liste de souhaits la lecture de ce roman...

Et bien, le mois dernier, vous étiez dans le train, souvenez-vous ! Moi, j'étais sur le quai de la gare, avec dans ma valise tous les espoirs et les rêves accumulés depuis des lunes et des lunes...
L'exemplaire "test" de ce premier roman sera dans un des prochains trains mais lequel ? Mystère ! Et quand ? Mystère ! Durant cette période festive et hivernale tout est ralenti...

En attendant de voir, de toucher et de lire cette "Rue Baraka", je m'agite, je bosse, j'écris !

Sur le quai de la gare ? Bien sûr que j'écris sur le quai de la gare...Je suis assise sur ma valise, voilà tout ! Et j'écris...

Tous ces gens au visage triste ou gai, jeune ou moins jeune allument mon crayon et sur le papier se dessinent des textes "urbains".

Des textes "urbains" ?

Hé oui, pour les demandeurs de pain, les demandeurs d'amour...
Pour tous ceux-là, je désirais écrire...
Vous qui me connaissez bien, vous savez que j'aime la ville et tous ses oiseaux ...Ses oiseaux ?
A travers la toile du net, je perçois des interrogations, juste là, dans les lueurs de vos yeux ébahis...
Les oiseaux des villes ! Oui, des oiseaux ! De gentils oiseaux...En hiver, ils ont faim, ils ont froids..
Les oiseaux de la ville, ce sont tous ces gens sans toit, ce sont ceux que les beaux manteaux oublient, évitent et repoussent tout près des égouts, des souterrains, des quais de gare et des ponts...
Les oiseaux des villes, ce sont des hommes mal rasés, des mendiants, des prostituées; ce sont des demandeurs d'asile, des demandeurs de pain, des demandeurs d'amour...


      Les oiseaux des villes   I   ( novembre 2009 )
De la "Place Buisset"
Aux "Buissons des Rois"
De la "vallée des nus"
A la "Plaines des Vides-Ordures"
Sur les froids pavés des trottoirs
Le matin attend la nuit
La nuit décale le jour
Tu attends fille du jour
Fille du printemps fille de l'hiver
Le corps explosé aux tourments de l'amour
Le corps exposé aux tournants du désamour
Tu attends fille de rien
Tu attends fille de tous
Que des paupières plissées en billets
De banque des voitures débarquent
Le plus tôt le plus tard
Entre tes soupirs et tes fumées d'espoir
Te déshabiller et te rhabiller
Du nécessaire des fruits et du miel
Du superflu des paillettes des dentelles


     Les oiseaux des villes II  ( novembre 2009 )
La ville est torsadée
De tes arcs-en-ciel urbains
Oiseaux de plumes aux petits cris
Chantant sur les toits des humains
Vous êtes le soleil au bout
des tunnels des piétinants
Aveugles et sourds et malentendants

Vous êtes entre deux façades
De pluie de soleil au fond
De ce qui touche les trottoirs
Les poussières les poubelles les cartons

Oiseaux de plumes aux bonheurs
Simples et tranquilles
Vous regardez piauler les autres
Les "mal-pensants" les indociles
Les embouchés les imbéciles
Aux pieds de plomb aux mains d'argile
Aux poches lourdes de pognon
Au coeur clos et engourdi
Et sourds de partout aux oiseaux des saisons


        Les oiseaux des villes III  ( novembre 2009 )
Décalée dans la ville aux longs manteaux
De verre à soif de canifs métalliques
De clochards de chair de sang et d'étoiles
De courses de chevaux et de rouges carnavals
Tes puzzles derrière les lucarnes
De feux et tes questions géométriques
fertilisent les musiques et les confessionnaux

Noceuse aux amulettes fétardes aux talismans
Tes agapes refroidissent sur des nappes en papiers
Peints et de soie et de cachemire et de rubans
Tes gerbes de flammes rançonnent les chèquiers

Echouée sur les cuirasses des cyniques tambours
Chapeautés d'argent et d'or et de lumière
Et d'encens pourquoi pas puisqu'au nom de l'amour

Tu enjambes gauloiseries et animales crinières.

La poésie c'est pour moi une des plus grandes libertés. On lance des mots, des idées. On crée des images et les mouvements deviennent un film...
Vous avez lu ces textes. Quelles images avez-vous maintenant tout au fond de vous ? Et demain, que restera-t-il de cette lecture et de ces images ? A qui penserez-vous la prochaine fois que vous traverserez la ville ? Et quand il fera froid, très froid, à qui penserez-vous ?

Merci à vous chers amis d'être arrivés ici, sur la dernière ligne...Mais c'est peut-être un commencement, n'est-ce pas ? Après une dernière fois de quelque chose, il y a une première fois d'une autre chose ! Non ?...

Souvenez-vous, je vous encourageais à écrire quelques souhaits qui vous sont chers...Ecrivez-les...et vous verrez ...penser et écrire sont deux verbes merveilleux. Ils ouvrent les coeurs et permettent tout tout tout....
Réfléchissez...Un sourire à offrir ....Un livre à ouvrir...Un homme à relever...

Que cette année nouvelle vous soi ( e...! ) douce...

Avant de vous laisser aller à vos rêves et tendres désirs, merci de signer votre passage par un petit commentaire...deux ou trois mots, une petite bafouille...Vous le savez maintenant...j'aime ça !

A très bientôt,
Carine-Laure Desguin

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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 15:16

Bonjour à tous !

L'édition d'un premier roman reste, contre vents et marées, une longue attente; c'est être debout sur le quai de la gare, entendre au loin le "vroumvroum" du train et ne pas le voir arriver ! A vos côtés, une valise gonflée d'espoir, d'amitié, de challenges vous met au défi : vous devez attendre ce train...

Mais ces instants d'incertitude s'oublient et s'envolent...Ils sont chamboulés par des imprévus, des jolies rencontres, des retrouvailles surprenantes  ( ! ..); et, vous le savez vous qui me connaissez un peu, j'aime ça !

Vous avez été plusieurs à réagir à mon interview http://www.bandbsa.be/contes/interview/desguin-interview.htm  réalisée par "BoB", dans son journal "Actu". Cela m'a fait plaisir et puis, avouez-le, à vous aussi, cela a fait plaisir...Vous êtes curieux...Et, vous n'avez pas appris que des bêtises  à mon sujet...Non, non !

Le salon du livre de Tournai, le 15 novembre dernier, m'a permis de faire connaissance avec quelques autres auteurs de chez "Chloé des lys", la maison d'édition qui me fait tranquillement confiance...

Et, bien sûr, vous vous demandez quels auteurs étaient présents..

Qui ai-je rencontré ? Oh...des gens ! Et bien, beaucoup sont venus signer leur roman ou recueil de poésies : Martine Dillies-Snaet, Claude Colson, Cathy Bonte, Jacques de Paoli, Micheline Bolland et bien d'autres...

Je ne peux oublier Kate Milie qui, avec son premier roman "Belle Epoque", a tellement retenu toute mon attention que vous pouvez lire dans l'ACTU de " BOb Boutique" la critique que j'ai écrite au sujet de ce passionnant roman. Ce fut donc, un très très beau dimanche !

Toute cette mouvance littéraire s'est glissée en moi, a titillé mes neurones et m'a donné l'envie de vous offrir un p'tit cadeau ! Bientôt les fêtes !

Le voici donc...Quoi ? Le premier extrait, diable ! "Depuis l'temps qu'on en cause"!
Respirez fort et, tout doucement, pénétrez dans cette "Rue Baraka"...



......Tarek, attristé, présente au reste de la planète un visage d'apatride.....Des gens vont et viennent dans la rue où tout le monde commence à trouver sa place.....Un bus klaxonne devant un piéton imprudent, un homme pressé s'introduit dans un taxi.
Un vieil homme essoufFlé porte à bout de bras une caisse bien trop pesante pour lui. Autour d'eux, les gens se parlent, s'occupent, achètent le journal, le pain, le kilo d'oranges. Les deux hommes se heurtent. L'un parce qu'il marche la tête baissée et l'autre parce qu'une pesante et volumineuse caisse lui barre la vue. Sous le choc, la caisse tombe avec fracas. Les deux hommes, saisis, se regardent.
- Excusez-moi monsieur, dit Tarek l'air ennuyé.
- Ce n'est rien mon garçon, répond l'inconnu, j'étais concentré à cause du poids de ma charge et je n'ai rien vu venir ! C'est moi le fautif ! Tu vois, je sortais pour déposer ceci......
.......Tarek, peu enclin à apprécier les comportements empathiques des autres est pris de compassion devant ce vieil homme qu'il vient de bousculer et qui a l'air de s'excuser lui-même...

Tarek est le plus souvent indifférent aux gens qu'il croise, qu'il rencontre, mais la vie nous rend quelquefois inconstants et nous dérogeons alors sans savoir l'expliquer à nos manies et réflexes insensés de tous les jours....
.....Se décale alors une tournure inattendue. La chance s'impose-t-elle  d'elle-même au jeune insouciant ou est-ce lui qui, par une clairvoyance soudaine, l'écoute de son soleil intérieur, se dispose à briser les chaînes verrouillées par lui-même depuis toujours ?

Le vieil homme est vêtu à la façon d'un jeune adolescent. Un jeans .......

Voilà, chers amis, vous avez lu quelques phrases...
Merci de signer votre passage sur mon blog par un petit commentaire, cela me fera plaisir...
Et puis, vous repartirez vers vos occupations, en attendant comme moi, la suite des événements...
Cependant, j'aimerais que vous pensiez à ceci :

Et vous, chers amis, comment avez-vous réagi à vos rencontres d'hier, de ce matin, de tout à l'heure ?

Pour votre lecture attentive, votre commentaire sympathique, je vous dis "Merci"; et j'espère vous revoir très bientôt ....
A vous lire,
Carine-Laure Desguin

Et, je vous le demande de nouveau...chers amis, qu'avez-vous fait de vos rencontres d'hier, qu'avez-vous fait de vos rencontres de tout à l'heure ?
Le hasard, pour vous, qui est-il ? D'où vient-il ?...






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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 15:06

Bonjour à tous,

Comme vous le pensez, le vent souffle et nous amène toutes sortes de jolies choses...
Vous connaissez "Bob Boutique" ?
Et bien, c'est un libraire bruxellois qui aime créer, innover, s'enthousiasmer...
Grâce à ce "tintin reporter", ma première interview peut se lire dans son journal virtuel "actu" ( dans la rubrique "who is who"), journal où vous saurez désormais tout ce qui se passe autour de chez vous dans le monde artistique, qu'il soit littéraire, musical, pictural...

Je vous invite donc...

     http://www.bandbsa.be/contes/interview/desguin-interview.htm    

        
 Merci à vous de me laisser un petit commentaire, j'aime ça !

 Carine-Laure Desguin

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13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 19:57


Vous êtes nombreux maintenant à venir vous balader gentiment sur ce tout nouveau site ;
la balade est courte, je l'avoue..mais grâce à vous, tout cela rebondira très vite et de nouveaux articles s'ouvriront..

Tous vos encouragements, tous vos mots gentils me bousculent et, grâce à ces élans d'amitié sincère, ma motivation se renforce, j'avance !

Vos questions sont précises et, dites-vous, vous avez hâte de lire le premier roman...
Qui est donc ce vieux peintre ?
De quelle façon va-t-il transformer Tarek, ce jeune homme aux idées embrouillées ?
Et Clara ?
Quel lien entre ces personnages ? Quel secret ?

Avant de vous balader dans cette " rue baraka" il vous faudra, chers amis, patienter encore un peu...
Le roman, édité par "Chloé des lys", une maison d'édition tournaisienne, sera disponible dans plusieurs librairies tout près de chez vous;
ne paniquez pas, restez calme, je vous avertirai !

"Les enfants du grand jardin" et"mademoiselle Lucas", les deux autres romans,se terminent et attendent une perspicace correction !

Mille mercis à vous tous !
J'attends encore des commentaires, des critiques au sujet de ce site !

Ah oui, vous me demandez un petit extrait du roman..
Revenez me voir, on n'sait jamais...

A bientôt !

Carine- Laure Desguin

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